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Instauration immédiate, dès le 1er contact médical, d’un traitement antirétroviral par TENOFOVIR ALAFENAMIDE - EMTRICITABINE – BICTEGRAVIR : ESSAI IMEA 055 - FAST

Problématique

Le prochain défi de la lutte contre le SIDA est l’objectif fixé par l’ONUSIDA d’aller vers l’élimination de toute nouvelle infection par le VIH à l’horizon 2030. Cette ambition s’appuie sur un consensus mondial en faveur d’une perspective, d’ici à 2020, où 90 % des personnes vivant avec le VIH connaitront leur statut sérologique, où un traitement contre le VIH sera proposé à 90 % des personnes connaissant leur statut sérologique et où la charge virale de 90 % des personnes sous traitement antirétroviral (TARV) atteindra un niveau indétectable.

Développement et validation d’indicateurs de qualité des soins et des organisations pour les structures d’urgences automatisables et généralisables à l’ensemble des structures d'urgences françaises

Problématique

La saturation des structures d’urgences (SU) est croissante et son impact négatif sur la qualité des soins et la mortalité est démontré. Cette situation interroge les politiques publiques dans le but d’améliorer la prise en charge des patients requérant le plateau technique des SU et plus largement sur l’organisation de l’offre de soins non programmée. Pour l’amélioration de la qualité des soins et pour l’évaluation de l’impact des politiques publiques menées dans le domaine de la médecine d’urgence, des indicateurs sont nécessaires.

Mise en œuvre d'une formation à l'entretien motivationnel des internes en médecine générale sur l'hésitation vaccinale des patients

Problématique

La vaccination a permis de réduire la mortalité et la morbidité en contrôlant de nombreuses maladies à prévention vaccinale (MPV). Pour éviter que ces maladies ne réapparaissent, des couvertures vaccinales (CV) élevées (objectifs : CV ≥ 95%) sont nécessaires. Cependant, en France, les CV demeurent sous-optimales, notamment en raison d’une prévalence élevée de l’hésitation vaccinale (HV) dans la population générale qui touchait jusqu’à 50 % des parents de jeunes enfants en 2016. Celle-ci contribue à une baisse des CV qui favorise elle-même la réémergence d’épidémies.

Enquête en population générale sur l'acceptabilité d'un vaccin contre la COvid-19

Problématique

L’épidémie de COVID a émergé dans un contexte compliqué pour la vaccination en France. La France est un des pays où les réticences à l’égard des vaccins sont les plus élevées au monde. Cela a directement pesé sur les intentions de vaccination contre la COVID comme ont pu le constater les études réalisées entre avril et décembre 2020. Aujourd’hui encore, les réticences sont très répandues alors même que le cap des 100 000 morts causés par ce virus est passé dans notre pays.

Suivi Longitudinal des Attitudes à l’égard d’un VAccin contre la COvid-19

Problématique

Ce projet fait suite à l’étude Coconel, qui avait commencé à suivre les attitudes des Français à l’égard d’un futur vaccin contre la Covid-19 dès la fin du mois de mars 2020. Entre fin mars et fin juin 2020, l’hostilité à l’égard de ce vaccin était passée de 23% à 37%. Dans un contexte d’une hésitation vaccinale forte et évolutive, comment appréhender la dynamique des attitudes des Français face à un vaccin contre la Covid-19 ?

COROnavirus et LiEn Social : enquête dans le cadre du dispositif d’appels téléphoniques auprès des retraités isolés mené par la Carsat Sud-Est (étude COROLES)

Rapport
Date de communication

Face à la pandémie de Covid-19, de nombreux pays ont pris des mesures de confinement. En France, une mesure sanitaire de confinement a été mise en place du 17 mars au 11 mai 2020. Durant cette période, les sorties du domicile étaient limitées au strict minimum, et, du fait de leur vulnérabilité vis-à-vis du virus SARS-CoV-2, les personnes âgées de 65 ans et plus ont été particulièrement incitées à se confiner.