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COSINUS Mars : COhorte pour l'évaluation des Salles d'INjection dédiées aux USagers de drogues à Marseille

Problématique

Les usagers de drogue de la région PACA sont ceux qui sont les plus touchés par le VIH et le VHC. Parmi eux, les usagers de drogues par voie intraveineuse (UDVI) constituent le groupe le plus à risque pour ces épidémies et plus particulièrement pour le VHC qu’il faut prioritairement cibler dans les actions de prévention. Les salles de consommations de drogue à moindre risque (SCMR), pourraient être un nouvel outil de prévention pour les UDVI. C’est pourquoi une expérimentation a été proposée par la France à travers l’ouverture de 2 SCMR, à Paris et Strasbourg.

COSINUS éco : évaluation économique des salles de consommation de drogues à moindre risque

Problématique

Les salles de consommation de drogues à moindre risque (SCMR) font aujourd’hui partie de l’arsenal des services proposés dans le champ de la réduction des risques. Au-delà des résultats d’efficacité en terme de réduction des risques de transmission du VIH ou du VHC notamment (étude COSINUS), une évaluation économique de ce dispositif permet de s’assurer qu’il est coût-efficace, ou non, sur le long terme.

Recherche-action visant à favoriser la participation de seniors en situation de fragilité aux actions de prévention "nutrition seniors" à travers le développement d’une procédure de recrutement actif et d’accompagnement de ces séniors (procédure INVITE)

Problématique

D’ici 2060, un tiers des Français aura 60 ans ou plus (26 % en 2018). Le vieillissement de la population s’accompagne d’une forte augmentation de la prévalence des maladies chroniques, des situations de fragilité et de dépendance et des dépenses associées. Face au défi que représente le vieillissement pour de nombreux pays, l’Organisation Mondiale de la Santé s’est engagée dans la stratégie du Vieillir en bonne santé dont l’activité physique et l’alimentation sont des comportements clés.

Satisfaction des besoins d’aide des personnes âgées vivant en domicile ordinaire et en institution : évaluations à partir des enquêtes CARe-Seniors

Problématique

D’après les premières estimations issues de l’enquête CARe-Ménages de 2015, 4 à 10 % (0,4 à 1,5 million) des personnes âgées de 60 ans ou plus vivant en domicile ordinaire auraient besoin d’aide pour la réalisation des activités de la vie courante, dont 220 000 à 260 000 seraient en perte sévère d’autonomie. En institution, 86 % des personnes de 75 ans ou plus seraient également dépendantes (soit 370 000 personnes, dont 221 000 sévèrement).

Comprendre l'hésitation vaccinale vis-à-vis du vaccin contre le papilloma virus humain

Problématique

Depuis quelques années, de nombreuses recherches pointent les spécificités contemporaines d’une "hésitation vaccinale" qui se distinguerait radicalement de l’hostilité traditionnelle que suscitait jusqu’alors la vaccination. Internet et les médias sociaux sont devenus des sources d’information privilégiées, le risque perçu d’effets secondaires graves est un élément essentiel des décisions vaccinales, et les médecins généralistes gardent un rôle clef dans ce processus décisionnel.

Perceptions et comportements des infirmiers vis-à-vis de la vaccination : une enquête en région Paca

Problématique

La vaccination fait partie de l’activité quotidienne des infirmiers : en effet, ils sont habilités, sur prescription médicale, à pratiquer les injections de vaccins. Les infirmiers ont souvent une relation régulière et de proximité avec leurs patients et peuvent être amenés à avoir des échanges avec eux sur des sujets tels que les vaccins.

Panel d'observation des pratiques et des conditions d'exercice en médecine générale : exploitation régionale des données recueillies en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Problématique

La médecine générale de ville fait face à un contexte particulier (baisse du nombre de médecins généralistes libéraux, vieillissement et féminisation de la profession, dispositifs incitatifs à l’installation en libéral dans les zones fragiles, développement des dispositifs de rémunération à la performance) qui peut avoir des effets sur les pratiques et les conditions d’exercice des médecins généralistes libéraux.