La présente note reprend les résultats des quatre premières vagues de COCONEL pour explorer les sorties déclarées par les Français, leur durée et leurs motifs.
La présente note détaille les principaux résultats de la quatrième vague (1006 enquêtés, interrogés du 15 au 17 avril), réalisée donc après un mois de confinement, sur les aspects suivants : confinement et conditions de vie ; détresse psychologique et troubles du sommeil ; proximité subjective au COVID-19 ; opinions à l’égard du confinement ; pronostic sur la durée de l’épidémie.
La présente note revient sur les résultats de la 2ème vague (1005 enquêtés, interrogés du 31 mars au 02 avril), réalisée après deux semaines de confinement. Elle aborde les perceptions que les Français ont des risques induits par l’épidémie COVID-19, en lien avec leurs comportements durant le confinement.
La présente note détaille les principaux résultats de la troisième vague (1006 enquêtés, interrogés du 7 au 9 avril), réalisée après trois semaines de confinement. Elle aborde les opinions des Français à l’égard du confinement, des masques, de la chloroquine, d’un éventuel vaccin contre le COVID-19, et enfin leur pronostic sur la durée de l’épidémie
La présente note détaille les principaux résultats de la seconde vague (1005 enquêtés, interrogés du 31 mars au 2 avril), réalisée donc après deux semaines de confinement, et revient sur certains aspects encore inexploités de la vague 1 : les troubles du sommeil, les signes de détresse psychologique, la proximité personnelle au COVID-19, l’acceptabilité d’un vaccin contre le COVID-19, et enfin le pronostic sur la durée de l’épidémie.
La présente note détaille les principaux résultats de la première vague (1012 enquêtés, interrogés du 27 au 29 mars), réalisée donc après 10 jours de confinement, sur les aspects suivants : confinement et conditions de vie ; proximité personnelle au COVID-19 ; opinions à l’égard du confinement ; pronostic sur la durée de l’épidémie.
La santé des étudiants préoccupe les instances décisionnelles du monde de l’éducation. Les études disponibles menées sur ce thème ont souligné les difficultés d’insertion et la vulnérabilité de cette population. C’est à la fin de l’adolescence que se prennent certaines habitudes, tant en ce qui concerne les comportements à risques que les pratiques positives vis-à-vis de la santé et du recours aux soins.