Etude des comportements vaccinaux au Sénégal : le cas des infections à papilloma virus humain
Les infections à papillomavirus humain (PVH) causent diverses maladies, dont le cancer du col utérin, première cause de mortalité par cancer en Afrique Sub-Saharienne, y compris au Sénégal, où est menée une campagne nationale de vaccination contre les PVH ciblant les filles de 9 ans.
Etude des comportements vaccinaux au Sénégal : le cas des infections à papilloma virus humain
Les infections à papillomavirus humain (PVH) causent diverses maladies, dont le cancer du col utérin, première cause de mortalité par cancer en Afrique Sub-Saharienne, y compris au Sénégal, où est menée une campagne nationale de vaccination contre les PVH ciblant les filles de 9 ans. Cette campagne est conduite dans un contexte global d’"hésitation vaccinale" (HV), qui souligne notamment la crise de confiance des populations à l’égard de la sécurité et de l’efficacité des vaccins, et l’apparition d’attitudes spécifiques à tel ou tel vaccin.
Perceptions et pratiques vis-à-vis de la vaccination chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes en France
La vaccination fait partie des moyens de prévention de certaines infections sexuellement transmissibles proposés aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH). En raison des risques auxquels ils sont exposés, les recommandations vaccinales françaises préconisent que les HSH se vaccinent contre l’hépatite B, l’hépatite A et, pour les moins de 26 ans, contre les infections à papilloma virus humains (PVH).
Comprendre l'hésitation vaccinale vis-à-vis du vaccin contre le papilloma virus humain
Depuis quelques années, de nombreuses recherches pointent les spécificités contemporaines d’une "hésitation vaccinale" qui se distinguerait radicalement de l’hostilité traditionnelle que suscitait jusqu’alors la vaccination. Internet et les médias sociaux sont devenus des sources d’information privilégiées, le risque perçu d’effets secondaires graves est un élément essentiel des décisions vaccinales, et les médecins généralistes gardent un rôle clef dans ce processus décisionnel.